30 juin 2012
BRUNO DE STABENRATH
L'éternel combat du visible et de l'invisible.
Les drames modifient profondément la nature humaine.
J'avais plutôt tendance à croire qu'ils la tiraient vers le bas;
Mais fallait-il occulter la solidarité, la compassion et ces âmes magnifiques qui vous hissent
Au moment où vous pensiez que tout est fini.
J'avais foi en l'homme.
J'amais je ne serais résigné à une vision pessimiste du monde même au bord de l'abîme.
Je n'avais pas prévu une telle promenade dans ma vie......
Mais si je devais être ce promeneur vivant, alors je devais continuer la ROUTE.
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